42 pages seulement en une semaine, et je n’en peux déjà plus.
Vous m’en voyez désolée. Je ne sais pas à qui adresser mes doléances, à vous ou à votre traductrice, mais le style de ce livre est éreintant. Rien à voir avec la formidable modernité d’un Pierric Bailly par exemple. Ici la moitié des mots sont en espagnol, et pas de chance pour vous, je suis une grande débutante dans la langue… Mes profs ont déjà du mal à enrichir mon vocabulaire, alors je ne pense pas que vous puissiez faire grand-chose pour moi.
Et puis l’autre moitié des mots, c’est un mélange assez étrange de verlan-caillera-démodé, très décevant, et qui nuit énormément à la lecture. Sans parler de cette folle histoire qui peut sembler envoûtante certes, mais bien compliquée…
Voilà, je dois vous avouer que je n’ai pas le courage d’aller au-delà de cette fameuse page 42… J’espère que vous ne m’en voudrez pas, et puis consolez-vous, vous avez tout de même reçu le Pulitzer !
Lucie S.