Cher David B.
Votre livre est une grande rumeur. J’y ai entendu les conversations assourdies des ruelles de Beyoglu, le roulement du vent sur les rives du Bosphore et le souffle d’un homme qui tourne sa vie, ses rêves et ses désirs sous l’éclat du soleil d’Istanbul.
Un voyage sonore où la terre tremble et ébranle votre personnage, qui, tel un aimant guidé par une attraction inconsciente, retourne dans le quartier de son enfance et emprunte chaque allée comme des passages entre le passé et le présent.
Vous savez raconter des fables à la manière des lecteurs publics et décrire ce Beyoglu en bleu et en jaune. Ce quartier reste maintenant suspendu dans mon esprit comme un point imaginaire. Au plaisir de vous relire et d’écouter vos prochains murmures.
Vinciane H.